« Si vous attendez qu’une preuve nous tombe dessus comme par magie dans l’escarcelle, vous risquez d’être déçu. Tout crime recèle une part évidente de psychologie : le choix de l’arme, la méthode utilisée, le modus operandi reflètent forcément une personnalité. C’est cela qu’il nous faut creuser si nous voulons trouver le coupable. »
Par où commencer pour vous parler de ce roman absolument dingue …
1938. Un huis clos débute à la Maison aux trois Ormes, où demeure l’aristocrate Yves de Montalabert. Il convoque le commissaire Forestier car il a reçu des lettres de menace, et craint pour sa vie. Pour ne pas attirer l’attention, le Comte a aussi convié quatre autres connaissances : un général, un médecin, une épouse d’un riche industriel et un journaliste en vogue.
Ils sont tous au dessus de tout soupçon jusqu’à ce que l’aristocrate ne soit retrouvé mort dans son bureau. En effet, Yves de Montalabert est mort dans une pièce verrouillée de l’intérieur, une balle dans la tempe droite alors qu’il est gaucher !
Je m’arrête là ! Même si, même si la suite est à couper le souffle !
@valentin.musso ou l’art de manipuler son lecteur Quel brio ! Vous m’avez bluffé !
J’aime définitivement votre plume
Merci pour ce livre dont la plume narrative est remarquable et les références littéraires bien présentes.
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